Aujourd'hui, Jeudi 1er Mai 2008- je décide de téléphoner aux aventuriers pour savoir si le 1er Mai les aventuriers travaillent, eux.
Réponse de Thibo, sans aucune hésitation:
"Bah bien sûr qu'ils travaillent!"
S'ensuit une discussion avec les deux qui nous démontrera que (selon les propres mots de Nico): "LE MORAL EST BON!". Et ce, malgré la pluie et les tempêtes qu'ils ont dû essuyer depuis leur départ, le Lundi 28 Avril.
Au moment même de notre conversation téléphonique, les amis sont assis autour de leur Butagaz, en plein bivouac dans la forêt de Chenonceaux.
Apparemment, ils vont bien et mangent à leur faim, même s'il semblerait que Thibo ait mis Nico au téléphone avec moi afin de prendre de l'avance sur la casserole de nouilles chinoises qu'ils se partagent. Ce qui vous le comprendrez bien-a précipité notre conversation vers une fin prématuré... Un homme doit défendre sa nourriture et Nico n'est pas le genre d'homme à se laisser rouler par de viles manigances.
Quand à la route jusqu'à Chenonceaux, elle fut 'tranquille' selon Thibault et 'héroïque' selon Nico.
Apparemment, Nico manquait un peu de connaissance technique en vélociclosité mais Thibo l'a aidé à vite se mettre à niveau.
Autres faits marquants:
-Thibo aurait cassé une de ses pédales dans un malencontreux accident ("Il regardait le paysage et est rentré dans un poteau")
-Nico aurait cassé sa béquille ("Le vélo était trop lourd pour la béquille, je crains que le magasin m'ait refilé une béquille de mauvaise qualité")
Voilà, c'est à peu près tout ce que j'ai appris lors de ce premier contact avec les aventuriers-espérons que les nombreux amireporters sauront nous en révéler d'avantages sur les tribulations de nos valeureux cyclistes.
Orel
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